République de la Terre et Dhana La structure du système humain. Chaque personne[1] est une des individuelles[2] parties[3] de l’espèce humaine[4] qui forment un tout[5] ensemble[6]
unitaire[7].
L’ensemble des personnes constitue le système[8]
humain. Le système humain est complexe[9]. Dans chaque système, les parties sont
organisées dans une structure[10].
Dans le système humain, les personnes sont organisées dans une structure
hiérarchique formée par niveaux qui attribuent une double valence. Chaque
personne représente soi-même si s’adresse vers le haut et la totalité si
s’adresse vers le bas[11]. Cette double valence[12]
ne dépend pas de la capacité individuelle mais du niveau sur lequel il commence
la vie de chaque personne ; il donne origine à deux catégories[13]
des dominants[14] et des
dominés[15]
et elle est la cause principale des injustices[16]. Les sociétés humaines sont dominées
par les plus forts[17].
La force d’une personne dérive de la valence déterminée du niveau sur lequel
elle a commencé sa vie et de sa propre capacité individuelle[18]. Le rapport entre la valence du niveau
et la capacité individuelle dépend de la forme de gouvernement de la structure.
Toutefois, la forme de gouvernement influence[19]
la force de chaque personne mais aucune forme de gouvernement peut modifier la
structure du système sociale, parce que la structure est effet des lois de
l’évolution et pas de la forme de gouvernement, laquelle peut donc seulement
diriger la structure dans une certaine façon mais ne peut pas la modifier. La règle fondamentale de l’évolution
de tout l’univers est la sélection[20].
Des particules élémentaires[21]
aux organismes les plus complexes, tout existe pour nécessité, il est en
constante évolution et il est soumis à sélection: les nécessités sont cause de
comportements qui à leur fois sont cause des règles. Il est arrivé le temps[22]
dans lequel la règle de la sélection peut être substituée avec celle-là de la
fusion[23],
qui on peut conquérir à travers une progressive indiscrimination[24]. Après des milliards d’ans de l’origine de l’univers dont elle fait
partie, l’espèce humaine peut réussir à modifier la règle de laquelle elle-même
provient et former une nouvelle structure sans niveau hiérarchique. Elle doit
seulement le vouloir[25]. Pour former une nouvelle structure est
nécessaire pousser les personnes à se disposer en manière différente de celle
habituelle, en remplaçant les comportements et les rapports déterminés de
l’actuelle structure du système, avec les comportements et les rapports de la
nouvelle structure qui on veut créer[26]. Comment se disposer? Lesquels
comportements et rapports? Pour substituer la règle de la
sélection avec celle de la fusion, les personnes qui se trouvent sur le niveau
inférieur ils doivent se relier, pour gérer autonomement ce niveau et pour
s’adresser à l’égard du haut avec une force suffisante à échapper à la règle de
la double valence. Les personnes de ce niveau doivent constituer un leur
système indépendant de ceux qui sont supérieurs et impliquer les personnes qui
se trouvent sur les niveaux inférieurs. Les comportements des personnes qui
participent au procès de fusion doivent être bougés par un esprit d’union et se
fonder sur objectifs communs, en ignorant tout ce qui tend à les diviser. Les comportements des personnes qui
participent au procès de fusion doivent ressembler à ceux qui seraient normaux
dans la structure à former, en excluant[27]
temporellement, si nécessaire, ceux qui ne participent pas au nouveau procès. Enfin, ces personnes doivent établir
la règle fondamentale[28]
de la nouvelle structure, dépourvu de niveaux[29],
selon laquelle chaque personne représente soi-même en n’importe quel temps et
lieu et toutes les personnes se considèrent une seule unité respect aux besoins
communs à chacune d’eux. Énergie, eau, nourriture, santé,
connaissance et les autres exigences fondamentales de l’être humain doivent
être considérées en fonction de l’unité et pas de chaque partie. Par rapport de n’importe qui se trouve
sur les niveaux supérieurs, les personnes qui se trouvent sur les niveaux
inférieurs doivent exprimer concrètement leur unité. Le gouvernement mondial. Toutes les formes de gouvernement
d’une structure hiérarchique sont finalisées à maintenir la position des
parties qui se trouvent sur les niveaux supérieurs. L’évolution des formes de
gouvernement est déterminée par la pression des parties qui se trouvent sur les
niveaux inférieurs. Chaque forme de gouvernement nouvelle, même s’elle apparaît
diverse, elle répète la plupart des caractères substantiels de celle qui l’a
précédée. Les États ne sont pas réussis à
résoudre les problèmes fondamentaux de l’humanité. Avec leurs choix,
déterminées par les groupes dominants, ils ont provoqué guerres, dettes
publiques, pauvreté et faim. Les États ont abusé de certains pouvoirs[30]
et ils n’ont pas utilisé ces-là pour lesquels ils ont été institués et acceptés[31]. On ne traite pas d’abolir les États,
mais c’est nécessaire modifier leurs fonctions et les intégrer avec celles-là
d’autres entités auxquelles conférer le pouvoir de faire cela qui les États
n’ont pas fait. Les États doivent être transformés en organismes territoriaux
d’un système planétaire considéré unitairement[32]
et gouverné, dans son ensemble, par un organisme qui représente, le plus
directement possible, la souveraineté et la volonté de tous les habitants de la
Terre. Pour modifier réellement les rapports
entre les dominants et les dominés, il faut adopter une forme de gouvernement
qui ne soit pas l’évolution de celles-là précédentes, mais fortement nouvelle
et originale. Il doit donner origine à une forme de
gouvernement du niveau d’évolution de l’humanité dans son ensemble, abstraction
faite de formes de gouvernement existantes et, en certains cas, en déterminant
les choix mêmes des gouvernements des États. La forme de gouvernement la plus adapte
à l’actuel niveau d’évolution doit considérer la réalité civile et économique
de l’humanité. La société humaine est en train de se globaliser. Les rapports
sociaux, civils et économiques peuvent arriver entre personnes de n’importe
quel lieu. Certains éléments sociaux sont communs à toutes les personnes. Les
principes de droit international sont applicables à chaque personne et à chaque
group. Les rapports économiques investissent chaque partie de la planète. La
structure de la société humaine est devenue universelle. Pour représenter une structure sociale
ainsi globale il sert un système politique universel, unitaire, avec un
gouvernement capable d’affirmer et réaliser les principes reconnus et partagés
par la société humaine dans son ensemble. Le nouveau système ne peut pas être
la reproduction des formes de gouvernements existants ni leur simple
agrégation. Il doit être quelque chose en plus et divers. Il doit partir du bas
et représenter les intérêts et les aspirations de la plupart des personnes. Il doit
influencer tous les peuples et les États et graver sur la réalité des personnes
en chaque lieu. Le système le plus adhérent[33]
à ces principes est la république[34]
universelle[35], avec un
gouvernement mondial qui soit l’expression de la volonté de tous les habitants
de la planète. L’hypothèse de la République de la Terre et d’un gouvernement
mondial élu directement de tous les habitants de la planète est née de cette
conception. Avec cette hypothèse la souveraineté
de chaque peuple[36]se transforme
dans la souveraineté de toute l’humanité, le territoire de chaque État devient
territoire commun à tous les habitants de la planète et la plus grande autorité
politique représente la volonté des personnes qui y vivent. La République de la Terre n’est pas un
État. Son gouvernement ne doit pas administrer quelque partie du territoire de
la planète ou prêter services publics. Elle doit seulement garantir liberté, justice, démocratie,
développement, solidarité et, surtout paix et sûreté à tous les habitants de la
planète. L’entité et le gouvernement qui
représente tous les habitants de la planète, c’est-à-dire la République de la
Terre et son gouvernement, ils n’ont pas besoin de quelque armée pour garantir
la paix et la sûreté ni de ses entreprises pour garantir développement
économique et solidarité, parce que leur autorité dérive de leur même
existence. Aucun groupe[37],
État ou gouvernement peut s’opposer à règles décidées par
une assemblée des représentants[38] de toutes[39]
les personnes qui vivent sur la Terre. La République de la Terre a été
constituée le 1er janvier 2001, au début du troisième millénaire de
l’ère chrétienne. Sa Constitution énonce les principes de caractère général et
les objectifs concrets qu’elle se propose. Les Dispositions d’Exécution et
quelques Règlements déjà adoptés établissent les modalités pour la faire
fonctionner. Adhérer à cette initiative signifie croire dans la possibilité de
construire un avenir meilleur de celui qu’on peut facilement prévoir en
laissant les choses comment ils sont. La monnaie mondiale
Le travail[40]
est la mesure fondamentale de la valeur[41]
des biens[42] et des
services[43]. La valeur des biens et des services
est déterminée par le rapport[44]
entre désirabilité et pénurie. La monnaie[45]
est un moyen de payement[46],
unité de mesure de la valeur[47]
et réserve de valeur[48]. Par rapport à la forme, la monnaie
peut être une pièce de métal[49],
un billet[50] ou une
simple écriture[51]; par
rapport à la valeur, elle peut être[52]
monnaie marchandise[53],
monnaie à cours légale[54]
et la monnaie fiduciaire[55]. Les billets de banque sont monnaies
fiduciaires à course légale sans quelque valeur réelle. La plupart de la monnaie scripturale
émise du système bancaire[56]
représente crédits à l’égard de sujets publics et privés[57]. Cette monnaie sans valeur est changée
avec biens réels et crédits et elle est prêtée derrière intérêt. Pour ceci on parle de monnaie de dette[58].
États, entreprises et privés sont endettés pour prêts en monnaie à cours légal
dépourvues de valeur sur lesquelles toutefois ils payent un intérêt[59]. Qui a des dettes doit employer ses
énergies pour les rembourser avec les intérêts, et, surtout, il dépend des
créanciers[60]. Utiliser de l’argent sans valeur pour
acquérir biens qui ont une valeur réelle et prêter cet argent derrière des
intérêts provoque un transfert injuste de richesse de sujets qui produisent des
biens et services à sujets qu’ils émettent et contrôlent cet argent[61]. La valeur de la masse monétaire
mondiale en circulation[62]
dépasse désormais un million de milliards de Dollars, c’est-à-dire au-delà de
trente fois la richesse annuelle produite sur la planète[63]
et plus de la valeur globale de tous les biens existants sur la Terre. Moins que le cinq pour cent de cette
masse circulante est utilisée dans l’échange de marchandises; le restant est
employé dans le secteur financier, les gains duquel dérivent d’un transfert
continu de richesse des États et des privés qui par conséquent augmentent leurs
dettes[64]. Les choix des États et des entreprises,
la capacité de satisfaire les besoins réels des travailleurs et des
consommateurs et la même liberté des débiteurs dépendent de peu de sujets
auxquels il est reconnu le pouvoir d’acquérir biens et de concéder prêts avec
monnaie qui n’a aucune valeur réelle. Par celle monnaie on contrôle la
politique[65], l’économie[66],
la finance, la culture et l’information[67],
on finance les guerres[68],
on gouverne le monde et on décide l’avenir de tous. Quelle est l’origine et la cause du
pouvoir de celle monnaie sans valeur ? Comment est-il possible qu’un moyen
de payement qui en soi-même ne vaut rien puisse être échangé avec biens et
services produits avec du travail vrai et réel? L’origine remonte au moment dans
lequel un État a concédé à un privé le privilège d’émettre monnaie, garantie
par les titres de crédit émis par l’État face à un prêt. Elles naissent ainsi la première
banque centrale, ou institut d’émission, et la monnaie à cours légal[69]. De cet instant, la pratique déjà
diffusée d’émettre de la monnaie à découvert a été légitime et, en chaque État, elle est levée une banque d’émission
qui a agi à la même manière. La cause est la confiance[70]
vers la banque centrale de tous ceux qui ont accepté en payement celle
monnaie-là, émise à découvert, dans la conviction que la banque-même aurait
accompli ses engagements. La banque centrale a profité de
l’ignorance[71] générale au
sujet du réel fonctionnement de la monnaie et elle a utilisé la confiance des
personnes pour affirmer et exercer son pouvoir. Depuis, la monnaie émise de la Banque
Centrale est déposée ensuite dans les autres banques, qui, à leur fois,
concèdent des prêts qui se transforment en autres dépôts et prêts, en causant
le procès de multiplication monétaire qui a conduit à la masse monétaire circulante
actuelle[72]. Puisque sa gestion demande une
certaine spécialisation[73],
la monnaie se concentre en peu de mains et, puisque c’est possible acheter
biens et services avec la monnaie, de la concentration de la monnaie on passe à
la concentration et injuste distribution de la richesse. La progressive concentration de la
richesse[74] empêche à
la majorité d’êtres humains de disposer de ressources matérielles suffisantes à
travailler et produire pour satisfaire les besoins[75]
essentiels de chacun, avec le progressif appauvrissement et, sans rhétorique,
toujours moins liberté. Comment on peut modifier cette
situation qui provoque effets négatifs sur la vie de la plupart des êtres
humains? C’est-à-dire, comment peut-on redistribuer la richesse? Supposons que la cause de la
concentration de la richesse est la concentration de la monnaie, pour
redistribuer la richesse il faut redistribuer la monnaie. Comment est-il possible ? En
excluant moralement et légalement le vol et l’expropriation (même pour ne pas
répéter la modalité par la quelle elle est arrivée la concentration), la seule
solution pour transférer valeurs monétaires de celui qui en a beaucoup pour les
donnés à celui qui n’en a pas c’est émettre une nouvelle monnaie et la repartir
en égales parties entre tous les sujets du système économique, c’est-à-dire
entre tous les habitants de la planète qui peuvent travailler et produire[76]. La monnaie est un moyen de payement[77].
La libre émission d’une monnaie dérive du droit de propriété, par lequel chacun
peut disposer des biens desquels on est légitime propriétaire. Naturellement, ces monnaies n’auront
pas cours légal mais ceci est seulement un avantage, puisque le cours légal des
monnaies est la cause principale de l’actuelle situation monétaire. Quiconque est libre d’offrir, demander
et accepter en payement la monnaie qu’il veut, sauf l’obligation d’accepter la
monnaie à cours légal[78]. Au sujet de la quantité de monnaie à
émettre, les représentants et les spécialistes d’économie et de finance considèrent
que la valeur monétaire moyenne qui peut graver sur le système actuel équivaut
à 2.500 Euro environ par sujet[79].
Cette valeur n’est pas significative
pour ceux qui ont assez d’argent mais elle permet à l’ensemble de tous les
autres, c’est-à-dire à la grande majorité des personnes, d’invertir le procès
de concentration monétaire, puisqu’elle donne la possibilité à ceux qui sont
sans argent de satisfaire les besoins les plus urgents et de travailler et
produire, en donnant origine ainsi un nouveau procès de redistribution de la
richesse. La nouvelle monnaie devait être
différente des autres -forme à part- et avoir ou représenter une valeur
juridiquement reconnue[80].
En n’étant pas possible émettre, dans la quantité nécessaire, une nouvelle
monnaie marchandise avec sa valeur intrinsèque et même la garantire avec du
métal précieux, la seule possibilité c’était la garantir avec capitaux
d’entreprises[81]. Ainsi, pendant que les autres monnaies
n’ont aucune valeur réelle d’émission jusqu’à ce qu’elles ne soient pas
acceptées en payement, la nouvelle monnaie est émise avec une valeur réelle
originaire[82], qui on
obtient en divisant la valeur du capital d’entreprises par laquelle la monnaie
est garantie pour la quantité d’unités monétaires émises. Il est comme diviser
la propriété d’un terrain, d’une certaine valeur en autant de titres de
propriété que de mètres carrés du terrain, dont chacun représente une identique
fraction de valeur du terrain. Ainsi émise et garantie, la nature
juridique[83] de la
nouvelle monnaie est très différente de
toutes les autres. Elle n’est pas une monnaie fiduciaire parce que sa valeur
n’est pas fondée sur la dette de l’émetteur. Elle n’est pas une monnaie à cours
légal parce que sa valeur n’est pas attribuée par loi. Puisque cette nouvelle
monnaie est garantie depuis son émission par la valeur réelle de titres
représentatifs de parts de capital, sa nature juridique et donc la définition
juridiquement la plus appropriée est celle de monnaie à valeur réelle garantie.
Une monnaie
avec les qualités sur décrit ne se dévalue jamais : en maintenant
inchangée la quantité de monnaie en circulation, à une augmentation de la quantité de biens offerts sur
le marché correspond une réduction des prix et, donc, on a une réévaluation de
la monnaie. Ce principe élémentaire,
communs à tous les facteurs de marché, renverse l’opinion courant, faussement
diffusé, par laquelle en augmentant la quantité de biens sur le marché est
nécessaire de mettre en circulation plus de monnaie pour les pouvoir acquérir. En
ne pouvant pas subir dévaluation, cette nouvelle monnaie peut être prêtée à des
sujets qui peuvent payer, sans d’intérêt[84].
La valeur de la nouvelle monnaie augmente indépendamment des sujets qui la
gardent. Pour obtenir
ce type de monnaie, il est nécessaire que les détenteurs du capital
d’entreprises[85] soient
disposés à mettre à disposition parts de capital à garantie de son émission. Pourquoi
devraient-ils le faire? Pour trois objectifs fondamentaux. Premier, pour
reporter la monnaie à sa fonction originaire du moyen d’échange de biens et
services[86]. Deuxième,
pour libérer l’économie réelle par l’hégémonie de la monnaie et de la finance[87].
Troisième, pour éviter un prévisible collapsus financier dû à l’excessive
expansion de la monnaie de dette et sa retombée catastrophique sur la
production et sur le marché[88].
En outre, avec cette monnaie on peut obtenir autres deux résultats : la
substitution de monnaies qui, même si dépourvues de la valeur[89],
elles sont prêtées derrière intérêt, dont elle dérive l’augmentation de
l’endettement publique et privée; plus de liberté du système politique[90],
surtout en relation à la politique économique et aux autres choix
internationaux. Ce dernier
aspect est d’importance absolue. L’introduction d’une monnaie de valeur garantie
impose une politique internationale de paix, entendue pas comme le résultat de
la guerre mais, plutôt, comme la prémisse essentielle dont prend origine un
nouveau procès par lequel les ressources sont employées pour produire au lieu
de détruire[91]. À ce point on
peut retourner à l’énonciation initiale selon laquelle le travail est la mesure
fondamentale de la valeur de biens et services. Pour
extension, on peut affirmer que le travail devrait être la mesure fondamentale
de la valeur de la monnaie par laquelle on peut payer biens et services. Après avoir
déterminé la valeur monétaire moyenne à assigner pour chaque sujet du système
économique avec le montant équivalent à 2.500 Euro, il était nécessaire établir
combien d’unités de la nouvelle monnaie devaient être garanties de la valeur
équivalente de 2.500 Euro. L’unité monétaire garantie de 2.500
Euro aurait pu être plus d’une. Naturellement on devait considérer la
divisibilité et, en général, la pratique d’utilisation de la monnaie. Mais, pas
seulement. On devait même lancer un message de caractère socio-économique[92]. De l’analyse
du coût effectif de production de biens et de services, il a résulté que le
coût moyen mondial du travail s’élève à une valeur équivalente à 25 Euro/heure. Pour cette
raison on a établi de garantir avec la valeur équivalente à 2.500 Euro 100
unités de la nouvelle monnaie, de façon que l’unité monétaire corresponde à une
heure de travail moyen normale[93]
dans le monde. Pour effet de
ce choix, la valeur de l’unité monétaire résulte garantie de capitaux de la
valeur nominale équivalente à 25 Euro[94].
Il était
nécessaire, enfin, donner un nom à la nouvelle unité monétaire[95].
Elle a été appelée Dhana. Le 14 juin 2001 ils ont été émis les six premiers
milliards de Dhana, garantis par un capital[96]
de la valeur nominale de 150 milliards de Euro, égal à 25 Euro pour 1 Dhana.
Successivement ils ont été émis autres 144 milliards de Dhana à assigner, plus
7,5 milliards de Dhana à destiner uniquement à des initiatives humanitaires. Au
total, jusqu’à aujourd’hui ils ont été émis 157,5 milliards de Dhana, garanties
par actions et parts de capitaux d’entreprises pour une valeur nominale
équivalente à 3.937, 5 milliards de Euro. Dhana est
émise en métal[97], en billets[98]
et en monnaie électromagnétique[99]
et télématique[100].
Une Dhana se
divise en mille Kana-Dhana[101]
et elle est émise en billets dans les coupures de 1, 5, 10, 50 et 100 Dhana et
de 1, 5, 10, 25, 50, 100, 250 et 500 Kana-Dhana. Elle a été
émise même une monnaie métallique de une Dhana et elle est prévue une série de
billets Dhana de la valeur intrinsèque de 25 Euro pour Dhana. En chaque billet
sera insérée une lame en alliage de métaux précieux (argent, iridium, or,
osmium, palladium, platine, rhodium, ruthénium) de plusieurs types et poids
selon les tailles des billets Dhana (1, 5, 10, 50, 100, Dhana et 1, 5, 10, 25,
50, 100, 250, 500 Kana-Dhana). Dhana en billets avec valeur intrinsèque ne sera
pas garantie par capitaux d’entreprises, mais par la valeur du métal précieux
qu’elle contient: par exemple, dans le billet de 1 Dhana sera incorporé une
lame d’un gramme de platine, la valeur duquel est de 25 Euro au gramme. Dhana à
valeur intrinsèque est convertible avec Dhana garantie par capitaux
d’entreprises et vice versa. On était prévu que les billets Dhana à valeur
intrinsèque entraient en circulation le 25 avril 2004 mais, pour raisons
productives et financières, la date a été prorogée[102]. Le Règlement
de Dhana[103] prévoit
qui à chaque habitant de la Terre, avec au moins 16 ans d’âge, elles soient
assignées 100 Dhana, au seul remboursement du coût d’émission, divers pour
chaque Pays, en relation à la richesse moyenne par tête. Le même
règlement prévoit que pour chacune 100 Dhana à assigner, on pourra émettre 5
Dhana à destiner pour buts humanitaires : c’est l’unique exception par
rapport à la règle de ne pas émettre plus de 100 Dhana pour chaque habitant de
la planète qui adopte Dhana comme monnaie. Avec
l’intention d’accélérer la diffusion, pour 100 Dhana assignées on a décidé de
demander, en alternative au remboursement du coût d’émission, l’engagement de
prêter 100 heures de travail : une Dhana pour chaque heure de travail[104]. Qui est-ce
que pouvait émettre Dhana ? En étant une monnaie mondiale, Dhana devait
être émise d’un organisme chargé par la République de la Terre. Avec le
Règlement de Dhana, émané de la République de la Terre, on a institué ainsi
Dhura, l’organisme d’émission et gestion de la monnaie et de control de son
système monétaire. Dhana n’a pas
besoin de banques[105],
la fonctionne typique desquelles est recevoir en dépôt de l’argent et le
concéder à prêt en gagnant sur la différence entre les intérêts actifs et
passifs. Il sera l’organisation de Dhura qui gérera les flux de capitaux et
d’investissement de Dhana, en garantissant le remboursement du capital à ceux
qui déposent et en prêtant monnaie sans intérêts. Vérifiée la
légitimité et définies les caractéristiques de Dhana, il s’agit d’établir si
cette monnaie puisse obtenir la confiance afin que soit acceptée en paiement. Même si la valeur
effective de Dhana ne dérive pas de son acceptation[106],
sa valeur de marché, c’est-à-dire son prix, dépend, comme pour n’importe quelle
autre monnaie, de son agrément de art du public. L’agrément[107]
d’une monnaie dépend de la quantité offerte et par la vélocité de circulation[108].
On peut considérer d’avoir circulation de Dhana quand une valeur effective de
100 Dhana résulte être en possession du trois pour cent de la population d’un
group de personnes qui ont réciproques rapports économiques. Rejointe cette
situation de quantité disponible et de vélocité de circulation, le prix de
Dhana équivaut à sa valeur effective. Une fois rejoint ce prix, le pouvoir
d’achat de Dhana sera proportionnel au rapport entre la quantité de Dhana
disponible et la valeur de bien à échanger. À ce point,
on sert la volonté de connaître et la confiance de choisir. Les habitants de
chaque Pays peuvent maintenant décider si continuer à accepter en paiement les
monnaies fiduciaires à cours légal et dépourvues de valeur, ou choisir cette
monnaie à valeur réelle garantie. On peut choisir entre monnaie qui
représentent dettes et la monnaie qui représente capital d’entreprises. On peut
continuer à se lamenter et à protester inutilement[109]
contre un système socialement, politiquement et économiquement injuste, qui
pénalise les plus honnêtes et les moins fortunés ou participer à un projet de
renouvellement de la structure du système, en utilisant la République de la
Terre et sa monnaie en tant que moyens pour construire ensemble un avenir meilleur
que celui qu’on peut raisonnablement prévoir[110].
On peut choisir si continuer à manifester pour la paix dans le monde ou
participer à un choix et à une proposition qui, si partagée par la plupart des
êtres humains, pose la paix comme fondation essentielle pour le bien-être de
tous.
Toutefois, il
y a des instants où feindre de ne pas voir que les choses vont mal et qu’ils
peuvent aller pire, signifie les faire aller pire ; et il y a des instants
où croire que les choses peuvent continuer à aller mal sans aller pire est une
folie plus grande que s’engager pour les faire changer. Juin 28, 2004
Rodolfo Marusi Guareschi [1] La personne est l’être
humain. [2] L’individuel est
l’individu considéré en soi, séparément des autres. [3] La partie est l’unité
dans laquelle on divise ou on peut diviser le tout. [4] L’espèce humaine est
formée par individus à station érigée, avec différentiation fonctionnelle des
mains et des pieds, pouce de la main qui s’oppose, grand développement du
système nerveux, dotée de forte intelligence et capable de langage
articulé. [5] Le tout indique la
totalité. [6] Ensemble signifie
union réciproque et il indique la cohésion de plus de personnes et de plus
d’éléments. Un ensemble est le regroupement de parties objets, dits éléments de
l’ensemble. [7] Unitaire est ce qui
constitue une unité, qui se lui réfère ou qui a dans l’unité son but. Toutes
les parties d’un ensemble ont des caractères communs. [8] Un système est un
ensemble d’éléments coordonnés entre eux en façon de former un complexe
organique soumis à déterminées règles. [9] Dans un système
complet, le comportement de chaque partie influence toutes les autres parties et
l’ensemble de toutes les parties grave sur le comportement de chaque partie. [10] La structure est
composition, ordre et façon d’être d’un organisme. [11] On peut représenter la
structure du système humain comme une pyramide à escaliers où chaque marche
représente un niveau. Pour monter vers le haut, celui qui se trouve dans un
niveau inférieur doit accomplir un plus grand effort de celui qui se trouve sur
un niveau supérieur. [12] La double valence se
définit même valence dyadique. [13] La catégorie est un complexe
de choses ou personnes regroupées selon un certain ordre du même genre. Le
genre est un ensemble de personnes ou choses ayant caractéristiques
fondamentales communes. [14] Les dominants sont
ceux qui prévalent sur les autres. [15] Les dominés sont ceux
qui subissent ou sont subordonnés aux autres.
[16] Injuste est celui qui
est inique. [17] C’est le plus fort
celui qui démontre d’avoir plus de vigueur et résistance [18] En théorie, entre deux
personnes qui se trouvent sur le même niveau, c’est plus fort celle qui a une
plus grande capacité individuelle, tandis que entre deux personnes avec la même
capacité individuelle, c’est plus fort celle qui se trouve sur le niveau
supérieur. [19] La démocratie donne
plus de force aux dominants, tandis que le despotisme donne la force la plus
grande à ce qui domine. [20] La sélection est le
choix des éléments meilleurs ou le plus adaptes à un but déterminé. La
sélection naturelle est un procès par lequel, dans la lutte biologique pour
l’existence, les individus moins dotés sont éliminés. [21] Les particules
élémentaires sont les éléments les plus petits de l’univers et elles sont
produites par vagues. Tout ce qui existe est formé par vagues d’énergie dans
l’espace et dans le temps. [22] Maintenant, pour effet
du niveau d’évolution rejoint de l’espèce humaine dans son ensemble il est
possible de faire aller mieux qui va pire sans faire aller pire qui va mieux. [23] La fusion est la
concentration de plus parts dans un organisme, par la formation d’un noyau
dérivant de l’union de plus noyaux de valence inférieure. [24] Indiscrimination
signifie engagement indiscriminée de touts les personnes qui se trouvent sur le
même niveau. [25] La volonté est la
première condition pour réaliser objectifs possibles même si improbables dans
l’instant où ils sont proposés, puisque la volonté augmente la probabilité de
faire cela qu’au début il semblait seulement possible. [26] C’est le concept de
« construction de la réalité » analysé à l’Université de Palo Alto,
Californie. [27] Exclure des rapports
signifie exactement « Tu suis ton cours et laisse dire la gent »
(Dante Alighieri). [28] La règle fondamentale
d’un système est sa base. Par exemple, la base du système social est la
famille, la base du système économique est la propriété, la base du système
politique est l’autorité. [29] Comme la structure
hiérarchique peut être représentée en tant qu’une pyramide à escaliers, ainsi
la nouvelle structure peut être représentée comme un cône hélicoïdal, le
parcours continu duquel configure, pour celui qui se trouve dans un point plus
haut, seulement une plus grande responsabilité. [30] Par exemple
l’utilisation de la force, employée pour faire les guerres. [31] La fonction principale
des États devait être l’organisation de la société humaine pour améliorer leurs
comportements et rapports et garantir le développement général. [32] Une entité universelle
et pas locale. [33] “La constitution
fondée: sur les principes de la liberté des membres d’une société (puisque hommes) ;
sur les principes de la dépendance de tous d’une unique législation (puisque sujets) ;
sur la loi de l’égalité de tous (puisque citoyens), elle est la
constitution républicaine, unique constitution qui dérive de l’idée du contrat
originaire sur lequel doit-il se fonder chaque législation juridiquement valide
d’un peuple. Cette constitution est donc en soi-même pour ce qui regarde le
droit, celle-là qui est le fondement originaire de toutes les espèces de
constitutions civiles, et il y a seulement une chose à se demander : si
elle soit aussi l’unique qui peut conduire à la paix perpétue. La constitution
républicaine maintenant, au-delà de la franchise de son origine que lui dérive
de l’être jaillie de la pure source du droit, elle présente aussi la
perspective du but désiré, c’est-à-dire la paix perpétue. La raison en est la
suivante : s’on est demandé (comme en cette constitution il ne peut pas
être autrement) le consentement des citoyens pour décider si la guerre doive ou
elle ne doive pas être faite, rien n’est plus naturel du fait que, en devant
décider de faire retomber sur soi-mêmes toutes les calamités de la guerre
(c’est-à-dire combattre personnellement, en payer du son pour le frais, réparer
à force de privations les ruines qui la guerre laisse derrière de soi et
d’ultime, pour comble de maux, s’assumer encore une charge de dettes qui rendra
difficile même la paix et à cause de suivantes et toujours nouvelles guerres ne
pourra jamais s’instiguer), ils réfléchirons longtemps avant de commencer un
ainsi mauvais jeu : tandis que dans une constitution où le sujet n’est pas
citoyens et qui pourtant elle n’est pas républicaine, la guerre et la chose la
plus facile du monde parce que le souverain n’est pas membre de l’État, mais il
en est le propriétaire, rien de ses banquettes il a à remettre à cause de la
guerre, de ses chasses, de ses maisons de plaisir, de ses fêtes de cour etc.,
il peut donc décider la guerre de la manière d’une espèce de partie de
plaisirs, pour causes insignifiantes, et pour sauver les apparences
tranquillement laisser au corps diplomatique, prêt à cela en chaque temps, le devoir de la justifier » (De
« Pour la paix perpétue » de Immanuel Kant, 1795). [34] La première république
de l’histoire est née à Rome en l’an 509 avant J.C., après l’expulsion de Tarquinio
le Hautain: il prévoyait deux consuls en fonction pour un an et un dictateur en
fonction pour six mois en cas de danger grave pour la Ville. [35] L’idée positive de la
république universelle est d’Immanuel Kant, de “Pour la paix perpétue” du 1795. [36] Le concept de peuple
dérive de celui de l’État: on a défini le peuple l’ensemble des habitants d’un
État. [37] Group entendu comme
ensemble de personnes d’un territoire, d’une culture, d’une religion. [38] La Constitution de la
République de la Terre prévoit une Assemblée International formée par un membre
pour 10 millions d’habitants, élu directement des habitants de la planète, et
un gouvernement nommé par l’Assemblée même. [39] Sur la Terre ils
vivent 6,3 milliards de personnes environs, dont presque 5 milliards ont au
moins les 16 ans d’âge. [40] Le travail est
l’ensemble de toutes les activités humaines nécessaires pour transformer
ressources naturelles en biens ou services, utilisables pour satisfaire les
besoins et les désirs individuels et collectifs, et pour les mettre à
disposition des utilisateurs. C’est un de trois facteurs principaux de la
production, ensemble à ressources naturelles et capitaux. Le capital représente
le travail progressivement employé dans le cours de cycles productifs qui précèdent
la mise à disposition d’un bien ou service.
[41]La valeur peut être le
prix ou le coût d’une chose. La valeur d’usage est utilité qui un donné bien a
pour celui que le possède. La valeur d’échange est la quantité de biens ou services
qui se donnent en changeant un bien ou un service avec un autre. La valeur
nominale est cela indiqué sur un titre.
[42] Les biens sont les
choses qui servent pour satisfaire besoins et désirs de l’homme. [43] Les services sont les
prestations des activités et les effets économiquement utiles de biens
matériels ou d’activités humaines. [44] La désidérabilité
d’une chose est une fonction de son utilité potentielle. La pénurie d’une chose
dérive de sa rareté. Une chose désirable et insuffisante a valeur d’échange
parce qu’elle peut être échangée avec un produit théoriquement de la même
valeur. Généralement, on distingue la valeur de marché de la valeur normale ou
naturelle. La valeur de marché représente le pouvoir d’acquisition d’un produit
sur un marché dans un moment déterminé; la valeur normale est celui qui
prévaudrait si les forces du marché agissaient sans frictions. La valeur du
marché est le prix avec lequel on échange une marchandise, tandis que la valeur
naturelle est son prix équitable. En simplifiant, dans la théorie de la
valeur-travail, la valeur d’un produit est constituée, ou créée ou déterminée,
par tout le travail employé pour le produire. [45] La monnaie est un bien économique intermédiaire dans les
échanges, c’est-à-dire n’importe quel moyen d’échange qui soit généralement
accepté en payement de biens et services et pour éteindre dettes. [46] Les moyens de payement
sont l’ensemble des moyens utilisables pour effectuer transactions monétaires
et ils comprennent la monnaie métallique et de papier à cours légale et la soi-disant monnaie scripturale ou de crédit. [47] L’unité de mesure de
la valeur est la grandeur unitaire par rapport à la quelle sont mesurés les
grandeurs économiques. La mesure de la valeur est la quantité d’unité de monnaie
demandée à acquérir un produit. [48] La réserve de valeur
est le cantonnement de quelque chose pour s’en servir dans le moment le plus
opportun. [49] La monnaie métallique
est née avec la valeur intrinsèque du métal dont elle était faite. [50] La monnaie en billets
est le billet de banque, qui dérive de la note ou du certificat de dépôt. [51] La monnaie scripturale
émise du système bancaire est argent qui n’est pas disponible sous forme de
billets de banque ou monnaie mais sous forme d’écriture à crédit sur un compte
bancaire ou postal. Elle peut être convertie dans n’importe quel moment en
argent comptant. [52] Elle a existé même la
monnaie de crédit, constituée de l’engagement de l’émetteur de payer la valeur
équivalente en métal monétaire standard.
[53] La monnaie marchandise avait la valeur du matériel dont
elle était faite: or, argent, cuivre. Dans l’antiquité on usait comme monnaie
plusieurs objets faits avec ces métaux, ou de fer ou de bronze, tandis que
entre les primitifs on utilisait en tant que moyen d’échange objets telles que
coquilles, petites perles, défense d'éléphant, fourrures, peaux et bétail. [54] La monnaie à cours légale est dépourvue de n’importe
quelle valeur intrinsèque et sa valeur est établie par la loi. [55] La monnaie fiduciaire
représente une dette de l’émetteur et elle n’est pas convertible dans aucune
autre monnaie. [56] Le système bancaire
reçoit en dépôt monnaies et billets de banque dépourvus de valeur, qui prête à
sujets publics et privés qui déposent les emprunts près le même système
bancaire, en multipliant ainsi la masse monétaire originaire. Les monnaies et
les billets de banque déposés, en étant dépourvues de valeur réelle, font en
sorte que les même suivantes transactions monétaires (dépôts et prêts) soit
dépourvues de valeur réelle. [57] Les États peuvent
rembourser leurs dettes seulement en contrant des autres dettes égales à la
somme du capital à rembourser plus les intérêts. Concrètement, les dettes
publiques sont remboursées à travers nouvelles dettes publiques. [58] La monnaie de dette
est celle qui vient émise pour être créditée à titre de prêt. Qui concède le
prêt inscrit un crédit vers celui qui le reçoit, lequel aura une dette vers
celui qui le concède. [59] Pendant les dix
derniers ans, l’augmentation de la dette publique de tous les États du monde a
augmenté le double de l’augmentation de la richesse mondiale produite. [60] Les créanciers des
États, des entreprises et des privés sont les banques: pour cette raison on dit
que les banque ont l’hégémonie sur la politique (États) et sur le système
économique (entreprises et privés). [61] Un sujet émet un
billet (un billet de banque) dépourvu de valeur. Ce billet ne vaut rien jusqu’à
ce qu’il reste dans le magasin de l’émetteur. Lorsqu’il entre en circulation,
ce billet prend valeur pour loi. Avec ce billet l’émetteur peut acquérir des
biens, services ou titres qui ont une valeur. Ainsi, ce billet qui ne vaut rien
prend valeur pour effet d’une norme de la loi. [62] La masse monétaire en
circulation (M3) est constituée de monnaies, billets de banque, dépôts à vue,
dépôts à épargne, dépôts à terme et équivalents monétaires (titres,
certificats, etc.). [63] La richesse produite
sur la planète en 2003 a été de 35.000 milliards de Dollars environ, pair à
49.000 milliards de Dollars PPA (Parité du Pouvoir d’Achat) environ. [64] Le rapport entre la
valeur totale des revenus financiers qui dérivent de transactions monétaires
spéculatives et la valeur des revenus qui dérivent des transactions de
l’économie réelle (constituée par les entreprises qui produisent et
commercialisent biens et services) augmente en continuation. Cela signifie que
l’économie réelle paye à l’économie financière un prix, qui dérive des charges
financières (intérêts passifs) sur les prêts en monnaie dépourvue de valeur réelle. [65] Aucun gouverneur peut se permettre de ne pas considérer
les créanciers qui ont concédé prêts à l’État. [66] Les choix
d’entrepreneur sont conditionnés par ceux qui prêtent capitaux aux entreprises.
[67] Culture et information
dépendent d’organismes publics et d’entreprises qui à leur fois dépendent du
crédit. [68] Les guerres font partie des causes fondamentales de
l’endettement des États. En 1684, la Banque d’Angleterre est née vraiment pour
financière la guerre de l’Angleterre contre la France. [69] Le 27 juillet 1694, le
banquier William Paterson a concédé un prêt de 1.200.000 livres sterling, à
l’intérêt du 8%, à la monarchie anglaise, qui lui a relâché titres de crédit,
utilisés de Paterson pour construire le capital initial de la Banque
d’Angleterre, à laquelle la même monarchie anglaise a concédé la faculté
d’émettre de l’autre monnaie pour l’entier emporte du capital. Ainsi, avec l’or
que les légitimes propriétaires lui avaient confié en garde (après le relâche
de certificats de dépôt), Paterson a garanti l’émission de la monnaie concédée
en prêt à la monarchie anglais et avec les titres de crédit relâchés de la
monarchie a émet de l’autre monnaie.
Ainsi Patterson a triplé la valeur de cet or : il a relâché
certificats de dépôt aux propriétaires, ensuite il a émis la monnaie donnée à
titre de prêt à la monarchie anglais et autant monnaie avec laquelle acquérir
biens et concéder des autres prêts. [70] Sans la confiance des
citoyens n’importe quelle monnaie à cours légal, au contraire n’importe quelle
monnaie ne peut pas être changée avec des autres biens et, donc, elle resterait
dépourvue de valeur. [71] Par exemple, tous ne
savent pas que les banques centrales, même si elles sont définies en tant que
banques d’État, elles sont en réalité des entreprises privées le capital
desquelles appartient pour la plupart à autres banques. [72] C’est le soi-disant
multiplicateur monétaire du système bancaire: chaque banque transforme les
dépôts en prêts qui à leur fois se transforment en autres dépôts et ceux-ci en
autres prêts, avec le résultat que la masse monétaire en circulation a une
valeur énormément supérieure à la valeur nominale de la monnaie émise de la
banque centrale. [73]Il suffit regarder la
masse de documents, règles, les éléments produits chaque jour des banques
centrales. [74] L’un pour cent de la
population mondiale détient au-delà de la moitié de la richesse mondiale. [75] On sait qu’un milliard
de personnes environ dispose de moins d’un dollar par jour; au-delà 700
millions de personnes souffrent la faim; 1,5 milliards sont analphabètes, etc. [76] Jusqu’à ce moment on a
toujours pensé que la redistribution de la monnaie pourrait être effet de la
redistribution de la richesse mais, en réalité, puisqu’elle est la
concentration de la monnaie qui provoque la concentration de la richesse et pas
au contraire, il faut graver sur la cause et pas sur l’effet. [77] Les moyens de payement
sont tous les moyens utilisables pour effectuer transactions monétaires et,
donc, ils comprennent la monnaie métallique et de papier à cours légal, la
monnaie scripturale ou de crédit, comme les titres de crédit, c’est-à-dire les
documents (chèque, lettre de change, titres obligatoires) qui attribuent à
celui qui les possède légitimement le droit à demander au débiteur la
prestation ou le payement y indiqué. Selon le principe pour lequel « la
possession vaut le titre », le droit de recevoir la prestation ou le
payement est inséré dans le document, c’est-à-dire il est strictement lié à la
possession légitime et effectif du titre et il est indépendant de la raison
pour laquelle le titre a été émis. [78] À moins qu’il ne soit
pas précisé, entre les parties, un payement en monnaie différente de celle
légale. [79] C’est la valeur
moyenne de la monnaie mise en circulation par la Banque Centrale Européenne. [80]C’est juridiquement
reconnu la valeur certifiée et ratifiée par sujets publics et privés selon les
lois en vigueur. [81] Garantir la monnaie
avec capitaux d’entreprises signifie poser à garantie de la monnaie (par
exemple à des titres de gage) le capital social qui représente une partie du
patrimoine net des entreprises. Pour ceci, la monnaie garantie par capitaux
d’entreprises on peut la définir aussi comme monnaie de la production, en
alternative à l’actuelle monnaie de la finance. [82] Puisque la garantie
est prêtée avant l’émission et pour l’émission. [83] La nature juridique
d’une chose est sa particularité et sa composition. [84] Les prêts sans intérêt
est un principe affirmé par toutes les religions principales. [85] Actionnaires de
sociétés et surtout détenteurs de fonds d’investissement qui gèrent actions et
parts d’entreprises. [86] C’est un problème qui
se pose même qui travaille dans la finance. [87] Celui qui travaille
dans l’économie réelle, c’est-à-dire dans la production, dans le commerce et
dans les services, il sait bien quelles sont les pannes provoquées du système
monétaire actuel. [88] En effet, pour éviter
un collapsus, elles ont été faites, et on est en train de faire, des guerres.
Par exemple, la guerre en Irak a eu l’intention d’empêcher que le prix du
pétrole n’était plus dénommé en Dollars, comme il était en train de décider
l’OPEC et comme il avait déjà fait l’Irak. [89] La substitution des
autres monnaies devra être graduelle et procéder parallèlement à la
modification du système politique. [90] On a supposé et même
une partie des Dhana assignées soient destinée à la réduction de la dette
publique des États. [91] La guerre provoque une
augmentation apparente de la richesse. En réalité, la guerre est la cause
principale des endettements publics. [92] Le message, justement,
qui comme la valeur des biens est mesurable du travail employé, ainsi la
monnaie doit être considérée la mesure de la valeur du travail. [93] Pour valeur moyenne
normale du travail dans le monde on entende la valeur qui s’obtient en divisant
la richesse produite chaque année sur la planète pour le numéro de
travailleurs, pour les jours de travail en un an, pour les heurs travaillés
dans un jour. [94] De cette façon on est
réussi à faire coïncider la valeur garantie de Dhana avec la valeur d’une heure
de travail moyen. [95] Peut-être que tous ne
savent pas que les mots « argent » et « monnaie » semblent
synonymes, et en plusieurs langues ils sont indiqués avec un mot seul mais, en
effet, « argent » indique l’unité de mesure de la valeur, tandis que
« monnaie » indique l’objet physique qui représente telle mesure.
L’unité de mesure de la valeur, c’est-à-dire l’unité monétaire, devrait être
indiquée avec le mot « argent », l’étymologie plus ancienne duquel
est « Dhana » en sanscrite. En swahili, « dhana » signifie
pensée. [96] Un gage sur des
actions. [97] Dhana en métal est un
alliage métallique recouvert d’or. [98] Les billets Dhana sont
en matériel synthétique avec application anti-falsifications. [99] Dhana en monnaie
électromagnétique se gère avec un portefeuille électronique qui permet de
transférer valeur sans la monnaie physique. [100] Dhana en monnaie
télématique est gérée par Internet avec le système Akadhana. [101] Kana signifie
« particule » en sanscrite. Une Kana-Dhana est une particule (un
millième) de Dhana. [102] Dhana émise pour les
initiatives humanitaires a été émises dans le billet de 1000 Dhana. [103] Le Règlement de Dhana
a été émanée directement du Comité des Représentants de la République de la
Terre. [104] En cas particuliers,
l’assignation de 100 Dhana ne demande pas ni remboursement du coût d’émission,
ni un engagement à travailler. [105] Même si elle a besoin
du personnel des banques, qui se sentira part intégrante d’un nouveau procès
économique et financier. [106] Puisque Dhana est
entièrement garantie par valeurs réelles et pas simple cas juridiques
particuliers. [107] On existe un rapport
précis entre la valeur de marché d’une monnaie, la quantité de monnaie en
circulation et la vélocité de circulation, c’est-à-dire le nombre d’échanges. [108] Pour calculer le
rapport idéal entre le prix, la quantité et le nombre d’échange de bien il faut
considérer la quantité de ce bien de zéro à l’infini. Si un bien n’existe pas,
on n’existe aucune quantité et, donc, elle ne peut pas exister aucune
circulation. Le bien qui existe en quantité trop basse est rare, mais il ne
peut pas être désirable, parce qu’il n’est pas utile. [109] Les protestes n’ont
pas empêché les guerres, elles n’ont pas procuré la nourriture à ceux qui ont
faim et elles n’ont pas modifié les choix des États. [110] Quelques dates sur la
situation actuelle: -
Richesse mondiale annuelle : 4,05% agriculture, 30,31% industrie,
65,63% services ; -
Pourcentage de frais sur la
richesse annuelle : 1,96% recherches, 11,39% santé, 4,82% instruction,
2,37% armes, 3,05% pétrole ; -
eau : 5 litres d’eau potable au jour pour habitant ; -
nourriture : le 12,7% de la population mondiale souffre la
faim ; -
culture : le 23% de la population mondiale est analphabète ; -
travail : le 9,7% de la force de travail est chômeur. |